Notre exploration du Chili et de l’Argentine ✈️


Nous avons fait un merveilleux voyage en Chili (suivi par quelques jours en Buenos Aires) en janvier et février 2023. Voici notre premier vu du Chili :  las montagnes de la Cordillera des Andes, avant de notre atterrissage à Santiago.


Après notre arrivée au notre hôtel dans le quartier de Lastarria, nous nous sommes promenés au quartier de Bellavista, où il y a beaucoup de bâtiments peints de peintures murales colorées.



Une des maisons du poète et politicien Pablo Neruda est située dans le Bellavista ; voici son bar où il recevait ses nombreux amis éclectiques.  Il l’a acheté comme un nid d’amour pour son amante Matilde Urrutia, et il lui donna le nom "La Chascona" en son honneur. 



Santiago est pleine de graffitis qui expriment des messages politiques.  En octobre de 2019 l’Estallido Social (« explosion sociale ») s’est produite.  Les gens étaient en colère contre les inégalités économiques.  1,2 million de personnes manifestèrent dans les rues du capital, et plusieurs d’autres partout dans le pays.  Par conséquence, le congrès accepta de commencer le procès pour rédiger une nouvelle constitution.  Malheureusement, la nouvelle constitution progressiste n’a pas été accepté par les électeurs en 2022.  Une nouvelle version maintenant est en course d’écriture.


On dit que Santiago est en actualité trois villes. L’une est le vieux centre, qui est assez européen y un peu bohème, avec beaucoup d’activité. Il contient beaucoup de restaurants, centres d’art et de culture, bars, théâtres, boutiques, marchés, et bureaux du gouvernement.  



La deuxième, qui nous ne visitâmes pas, est le banlieue pauvre, où les gens vivent dans des cabanes délabrées. C’est le but de cette manifestation près du palais présidentiel « por una vivienda digna » (pour un logement décent).


La troisième est où les riches habitent : les quartiers de luxe de Las Condes et Vitacura, qui me semblaient comme Beverly Hills. Chili possède une économie forte grâce à l’exploitation minière, mais sa richesse est concentrée en dans un petit nombre de familles.


Après avoir quitté la capitale, nous passâmes quatre jours dans le désert de Atacama, en séjournant dans le village oasis de San Pedro de Atacama. Voici la Vallée de la Lune, et à la distance, deux volcans.


Et ici nous sommes dans le Valle Arcoiris (« Vallée Arc-en-ciel »).


Notre troisième arrêt du voyage était Puerto Varas et le région des lacs.  J’ai pris cette photo sur le Volcan Osorño, au-dessus du lac Llanquihue. Au fond est le Volcan Calbuco.


Il y a beaucoup d’exemples d’architecture du style allemand dans la région, comme la Iglesia del Sagrado Corazón de Jesús (église du Sacre-Cœur de Jésu), dont la conception est basée sur les églises de Bade-Wurtemberg, en Allemagne.  Cette influence architecturale est le résultat d’un effort du gouvernement chilien de 1850 à 1875 pour inciter les allemands à coloniser le sud du pays.  

Une légende du peuple indigène mapuche dit que, autrefois, il ne pleuvait rien et le volcan Osorño continuellement vomît des fumes et du feu.  Le chef des mapuches appela pour un sacrifice, et la princesse très belle et intelligente Licarayen s’est offerte.  Cette statue au bord du lac Llanquihue rend hommage à la jeune fille.  Aujourd’hui, les mapuche tiennent une place d’importance dans la société chilienne – ils sont respecté parce que quand les colonisateurs européens sont arrivés, ils ont riposté !


Nous avons fait une excursion d’une journée à l’île Chiloe, ou nous avons vu les pingouins !


Nous passâmes une nuit à Punto Arenas, au sud du Chili.  C’était une ville maritime très important avant la construction du Canal Panama ; maintenant elle est beaucoup plus tranquille. 

 

De Punto Arenas nous roulâmes plusieurs heures par la « Ruta del Fin del Mundo » (route du fin du monde) vers la Patagonie, où notre destination était le parc national Torres del Paine. 


Ici nous avons le vu de notre hôtel au lac Pehoe, et à la distance, les montagnes Paine Grande et Cuernos del Paine (cornes de Paine).  « Paine » est le mot pour le couleur bleu dans la langue indigène Tehuelche.  Torres del Paine s’est établi comme parc national dans 1959.  


Nous voici en faisant une longue randonnée vers la Vallée Française, nommée pour un berger français dont les moutons y erraient autrefois.  


Notre destination finale du Chili était la ville portuaire de Valparaiso.  Dans son « âge d’or » de 1848-1914, quand elle reçut beaucoup d’immigrants de l’Europe, les marins la donnèrent le nom « la petite San Francisco ».  Et elle ressemble un peu notre ville, avec ses collines, le front de mer, et ses tremblements de terre ! 


Valparaiso est notable pour son art de rue – les murs blancs n’y existent pas ! 


Voici un autoportrait de deux graffeurs acclamés.


 Une femme mapuche décore un escalier. 


Une scène typique du quartier Cerro Alegre (« colline heureuse »). 


Et le port de Valparaiso.


Nous partîmes du Chili par avion pour la grande ville de Buenos Aires, en Argentine.


À Buenos Aires, nous séjournâmes dans le quartier vif et bohème « Palermo ».  


Dans le cimetière du parc Recoleta nous trouvâmes la crypte du famille Duarte, où est internée Eva Perón, première dame du pais de 1946 à son mort du cancer en 1952.  Elle est vénérée même aujourd’hui pour ses efforts d’améliorer les vies des pauvres et d’établir le droit de voter pour les femmes. 


Le quartier La Boca (« la bouche ») est fameux pour ses maisons d’acier ondulé colorées, vues au fond de l’image.  Mais les anciens immeubles existent toujours, juste à l’extérieur de la zone touristique.  Dans le passé, La Boca abritait des artistes et des anarchistes – un peu comme le Montmartre de Paris d’autrefois.  


Le quartier huppé Belgrano compte de nombreux immeubles de style parisien.  Dans les années 1880, Buenos Aires a adopté un plan de réaménagement inspiré par le renouvellement haussmannien de Paris.  Il y a beaucoup de bâtiments du style beaux-arts, et de grands boulevards.


L’Avenida 9 de Julio (« l’avenue 9 juillet ») est le boulevard le plus large dans le monde.  Voici l’obélisque au milieu de l’avenue – à moi, il ressemble le monument Washington. 

Voici le Puente de la Mujer (« pont de la femme »), conçu par l’architecte espagnol Santiago Calatrava. Cela conduit au quartier Puerto Madero, où plusieurs rues portent des noms de femmes. Sur ce bâtiment au côté Puerto Madero est écrit « NO PUEDES VIVIR SIN NOSOTROS… PODER, PLACER, PROPIEDAD, IGUALDAD, EMPATIA, INDEPENDENCIA, DUDA, CREENCIA – MUJERES » (c’est-à-dire « tu ne peux pas vivre sans nous… pouvoir, plaisir, propriété, égalité, empathie, indépendance, doute, croyance – femmes »).


Ici c’est la librairie El Ateneo, située dans un ancien théâtre. Nous y achetâmes des livres juvéniles en espagnol pour notre grand-fils, qui sont en train d’apprendre la langue !


Lors de notre visite il y avait beaucoup d’arbres à fleurs roses.  Celui-là est un lapacho rosado, au gauche de l’ambassade haïtienne. 


Nous avions beaucoup plus de merveilleux souvenirs d’Amérique du Sud que je n’avais pas le temps ou l’espace pour écrire.  J’espère que mon reportage vous a plu !  


- John Crittenden
























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